Cette nouvelle journée démarre après (enfin !) une bonne nuit de tous, et des lève-très-tôt qui ont su attendre le bon moment pour se lever (8h, mais ce n'est pas nous qui les réveillons, aussi nous en déduisons qu'ils sont ultra-motivés et cela nous fait plaisir). Matinée courses pour un groupe, départ 13h pour aller au Restaurant repéré à 10km.
C'est un restaurant "chic" assez déconcertant pour certains à la vue de la multitude des couverts, verres, assiettes, sans oublier un service digne des grands restaurants ! Ce fut un moment très convivial où tout le monde a apprécié et s'est "prêté au jeu" par la politesse, cela fut l'occasion d'apprendre quelques mots en portugais : Obregado, bolsa gelado...
Attente sous abris, non pas le bus mais plutôt que notre grande table soit prête. Nous ne regretterons pas la viande à la braise et les fritures de poisson... excellentes !
Nous "tentons" une balade bord de mer... Voyez plutôt !
Que pensez-vous des reporters ?
Ne sont-ils pas un brin courageux ? (Fadas ?)
D'un avis général et d'un commun accord, nous nous décidons pour une visite "abritée" car l’accalmie météo ne viendra pas. Direction le Musée Serralvès tout proche. La fondation Serralves est une vitrine de l'art contemporain. Ce musée a été aménagé lorsque Porto était la capitale européenne de la culture en 2001. La fondation possède aussi un domaine de 18 hectares où on peut se balader (lorsqu'il fait beau) dans un jardin charmant et trouver de nombreuses statues déconcertantes.
Nous sommes très agréablement surpris de l'intérêt que tous portent à l'exposition, chacun y va de son commentaire et de son attitude. Ci-dessous, Sylvain nous montrait les meringues.
L'art est un moyen d'expression qui fait echo à chacun.
Pause goûter au bar du Musée avant quelques achats à la boutique.
La gentillesse des portugais est un super lien social car ils sont sensibles aux personnes que nous accompagnons. Ici, la gardienne nous fait un petit clin d’œil pour témoigner de sa complicité avec David qui l'interpelle.
Retour de nuit en admirant, au passage, le pont Eiffel éclairé.
Avant de se quitter, quel est donc ce canard si bizarre selon Lucie et Fabienne ? Comme quoi, il est important de sortir et de voyager.
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